Confinée dans mon corps mais pas dans ma tête
En période de confinement, le plus dur pour moi, légèrement hyper active, est sans nul doute l’enferme- ment. En parallèle, l’une des facultés de l’être humain que je trouve la plus incroyable est l’imagination, que beaucoup perdent d’ailleurs à mesure qu’ils vieillissent.
Je me suis donc dit que j’allais profiter de cette mesure de confinement pour travailler mon imagination, qui, de mon côté aussi, a tendance à s’encrasser avec les soucis de la vie d’adulte. Dans mon appartement parisien de 45 m2, je me suis donc réinventé mes mondes du quotidien, pour garder le fil. Des semaines presque comme les autres quoi...